La rébellion est fabriquée de toute pièce. Chacun place ces pions pour  l’ »après-Assad ».

L’opposition légale nationale ne reconnaît pas celle du CNS (Conseil National Syrien). Et le CNS ne contrôle pas les rebelles armés. Le CNS pro-turc s’oppose à tout dialogue comme c’était le cas pour la France et les USA au sujet de la Lybie de Kadhafi. Le but, c’est de tuer Bachar Al-Assad. Un wahabite saoudien propose 450 000 dollars pour sa tête. Pendant que la bataille fait rage, les services secrets de l’Arabie, du Qatar, de la Turquie, des USA et de la France, coordonnent les opérations et cherchent à détruire les points sensibles du pouvoir.

Les commandos des services spéciaux des pays hostiles visent aussi les hauts gradés de l’armée et les personnalités importantes pour décapiter le régime. Les journalistes aussi font de l’espionnage. Ils entrent clandestinement en Syrie et restent en rapport avec les services de leurs pays d’origine. Tandis que les journalistes syriens sont assassinés.

Mais le régime tient bon. 49 espions turcs et 19 espions français ont été arrêtés. Les pays frontaliers jettent encore plus de terroristes venant de tous les continents dans la fournaise. Les terroristes fuient devant l’armée à Homs en particulier Baba ‘Amr où ils ont commis les pires exactions

Al-Mahdi  viendra quand la Syrie sera à genoux, à terre, pour la sauver des traitres arabes et turcs sans oublier les pays occidentaux, puissances toujours impliquées dans les désordres du monde.