L’ennemi terroriste recule en Syrie…. (04)

L’ennemi terroriste recule en Syrie…. (04)

L’ennemi terroriste recule en Syrie…. (04)
16 octobre 2016

La sauvagerie des terroristes et des salafistes wahhabites

Le terrorisme, c’est faire régner un climat pour détruire la résistance de l’adversaire. Quand les 2 camps sont terroristes, ils se concurrencent en intensifiant le degré de terreur pour désarçonner l’ennemi. C’est celui qui résistera le moins à la terreur ou qui en inspirera le moins, qui sera vaincu. Mais quand une partie n’emploie que le terrorisme et que l’autre fera la guerre pour tuer ou faire prisonnier sans recours à la haine terroriste inutile presque contre les faibles civils, on peut dire que la deuxième partie l’emportera sans en douter. C’est ainsi que les terroristes en Syrie, attaquent le camp palestinien de Yarmouk à Damas à coup de mortier pour tuer et faire fuir les réfugiés. Les Syriens ne bombardent pas les zones civiles contrairement à ce que ressasse la presse internationale. Une fois les criminels chassés par l’armée, la population concernée revient dans ses lieux, preuve que le peuple ne craint pas l’armée. L’Iran pour confirmer l’humanité des soldats syriens, apporte l’aide humanitaire aux Palestiniens sous leur protection.

Les terroristes se déploient en petits groupes pour harceler l’armée tandis que les commandos des pays qui les soutiennent, font des attentats comme en Irak. A Damas, les salafistes wahhabites de la terreur laissent derrière 50 cadavres de civils décapités et défigurés. Autre chose est la menace d’utiliser des armes chimiques pour polluer les eaux de la ville (Damas) et massacrer la population et une armée que rien n’arrête. La sauvagerie avec laquelle les civils sont tués, vient de l’impuissance à rompre le lien entre le peuple, l’armée et son chef Bachar Al-Assad. Même les hôpitaux ne sont pas épargnés : personnels et malades sont massacrés. On aurait pu penser que seuls l’Arabie et le Bahreïn s’en prenaient aux hôpitaux pour y torturer les blessés des manifestations.

De même, on aurait pu penser que les enfants-soldats n’existaient que dans certains conflits résiduels en Afrique ou en Extrême-orient. Les terroristes, en effet, enrôlent de force des enfants syriens pour servir de chair à canon. Aussi, les avions civiles sont visés par les terroristes. C’est pourquoi les Européens interdisent d’émettre aux chaînes iraniennes et syriennes. La presse occidentale ment ou ne montre rien que les «  insurgés » terroristes filmant leurs exactions contre les innocents et les prisonniers.

Israël, d’où vient toute cette terreur, est triste de constater qu’on ne fait pas la guerre par procuration avec des va-nu-pieds sans avenir, contre la Syrie millénaire et civilisatrice. La guerre contre la Syrie se fait avec des intérêts multiples et divergents. C’est que les sionistes rêvent de la chute d’Al-Assad et donc prévoient une guerre sans fin des différents groupes armés de l’opposition, dont certains sont des « jihadistes takfiris (excommunication) wahhabites ».

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