Les services français et les services algériens s’activent pour détruire le pays car le temps est venu. Il suffit de juger comment la presse occidentale et nationale ont traité la maladie de Bouteflika.

Depuis son accès au pouvoir tout un dispositif a été mis en œuvre : les kabyles n’ont jamais été aussi important dans la politique et les médias ; les marocains et les algériens amazighs se sont déjà réunis en un Congrès pour unir les territoires amazighs des 2 pays mais comme tout arabe ils n’arrivent jamais à se comprendre. Les salafistes wahhabites takfiristes contrôlent officiellement 30% des mosquées d’Alger ; les djihadistes sont aussi aux frontières comme l’a montré le Mali et ‘Aïn-Aménas ; le problème libyen n’est pas loin.

Il y a aussi le Maroc qui est poussé à la guerre contre l’Algérie : les 2 pays s’arment le premier aux USA, le second en Russie à cause du problème du Sahara occidental. La presse commence par mentir : les soldats algériens tirent sur 2 civils marocains, et des marocains tirent des cailloux à quoi répondent les tirs de sommation.

La France veut collaborer avec Alger pour attirer l’attention et la sympathie des cercles du pouvoir comme des généraux de l’armée. On se souvient de l’absence de l’armée pendant les massacres du « GIA » (groupe islamique armé) dans les années 90. L’assassinat d’un français en Kabylie vise à saboter une réconciliation franco-algérienne. La presse insiste sur la faiblesse du pouvoir.