Malgré le nombre de gesticulation autour des frontières, le problème le plus dangereux reste le Maroc. En cas de guerre, toutes ses tentatives d’encerclement feront sombrer dans l’océan, l’Algérie qui s’effondrera comme un château de carte.

Il y a d’abord le Mali et ‘Aïn-Amenas ; le Niger accepte une base US, le front sud de la Libye avec la frontière algérienne ; la demande des Africains pour le déploiement d’une force militaire occidentale en Libye. Dans ces pays les puissances sont déjà intervenus et y ont laissé le chaos.

On a tenté en vain de faire passer la chute d’avions  « Air Algérie » (dans le désert algérien et au Mali) pour des actes terroristes : l’Algérie serait attaquée donc déstabilisée et devrait faire appel à l’aide de la France qui a multiplié les gestes de bonne coopération et développement.

En Algérie, ce n’est pas Daesh mais un groupe terroriste obscure appelé les « soldats du califat ». Aux policiers qui manifestent dans plusieurs grandes villes succède les violences dans le sud à Ghardaya. Même dans le football où l’Algérie accède aux 1/8^ème de finale, les médias surtout français mènent une campagne contre les prétendus « troubles » des supporteurs et les drapeaux ostentatoires pour perturber l’équipe de football en cas d’accès au ¼ de finale.

La France n’en a pas fini avec l’Algérie. Elle avance avec un gant de velours pour mieux frapper sa proie.