Au Bahreïn, les militants sont en danger

Au Bahreïn, les militants sont en danger

Au Bahreïn, les militants sont en danger
28 juillet 2019

Ali Mohamed al Arab et Ahmed Issa al Malali, accusés d’avoir « formé et rejoint une organisation terroriste », peuvent être exécutés dansales 24 heures. Lors de leurs détentions, les deux hommes ont été torturés par des décharges électriques et des passages à tabac. Les ongles des orteils d’Ali Mohamed al Arab lui ont également été arrachés.

Au Bahreïn et en Birmanie avec les Rohingjas, ce sont les Musulmans qui souffrent à cause d’une chape de plomb médiatique. Les autorités veulent se débarrasser des chefs religieux qui justement évitent la violence et garantissent la paix civile. Les gens ne sont pas passifs. Ils attendent un mot d’ordre : Issa Kacim, autorité religieuse des plus respectées, marque pour les Musulmans du pays, une ligne rouge. Mais les militants sont en danger : meurtres, arrestations arbitraires, exécutions et tortures sont le lot quotidiens des bahreinis qui luttent pacifiquement contre le tyran Ahmad Al-khalifa.

Au Bahreïn, les militants sont en danger

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