La France sans lendemain !

La France sans lendemain !

La France sans lendemain !
15 juillet 2020

Parmi toutes les décisions politiques prises par ceux qui nous gouvernent au nom du pouvoir invisible, 2 décisions parlent pour toutes les autres. Une à trait à la politique intérieure au pays et l’autre plutôt aux affaires étrangères.la france sans lendemain La première sonne la fin du baccalauréat et par là des études supérieur et du système éducatif français : il est prévu que le redoublant (ayant échoué au Bac) n’étudiera et ne passera que les matières ratées. L’autre tient à une loi qui stipule que le jeune de retour de Syrie soit considéré comme « l’allié objectif » c’est-à-dire qu’il ne doit pas être inquiété par la police et les juges à moins qu’il ne fomente un acte terroriste sur le sol du pays et passe à l’action.

S’il est effectivement possible d’espionner tous les Français, il est difficile de comprendre ce qu’il en est des djihadistes d’autant que ceux qui sont passés à l’action à Paris et à Bruxelles étaient fichés. 2 décisions aberrantes et suicidaires. La droite hypocrite de Sarkozy est à l’origine de  l’annulation de la loi sur la déchéance de la nationalité, même si la gauche n’est pas en reste. Pour les présidentielles de 2017, une main invisible dans les coulisses de la politique et dans la presse s’arrangent auprès de gamins inexpérimentés et incompétents en politique à multiplier les candidats aux primaires à gauche pour l’affaiblir.

Un exemple est celui de Macron avec son parti, « En Marche ». De même à droite, les candidats sont nombreux pour ralentir l’élan de Juppé et Fillon. Les nombreux candidats aux primaires de la droite ne sont là que pour faire de Sarkozy le candidat du parti « Les Républicains » (ex-UMP) aux élections sans programme de 2017. Alors que la presse encense Sarkozy, la justice le met en examen encore une fois pour « financement illégal de campagne présidentielle ». Pourtant, chose curieuse, il n’est jamais condamné.

Ainsi, le duo « presse-justice » fait passer subtilement l’ancien président pour un martyr qui endure les coups durs et à le faire élire en le présentant comme un homme providentiel. Un simple humoriste, Dieudonné, pour quelques mots a la « meute » presse-justice qui s’acharne : un juge le condamne à 30 000 euros d’amende et à de la prison avec sursis. La liberté d’expression a ses limites impénétrables pour ceux qui croient en la liberté démocratique.

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