Israël représente le Mal et l’Iran, le Bien. Dans ces 2 pays, les religieux guident les pas de la politique. Khamenei, le guide des Musulmans, est le sauveur des opprimés : les voiles sont tombés, seul l’Iran soutient la cause de la Palestine. En Israël, les grands se cachent pour lancer les mots d’ordre à suivre. Un général israélien n’hésite pas à dire : « Nous n’avons pas de problème avec Daesh ; l’ennemi, c’est l’Iran ».

Daesh, c’est l’Islam dirigé par Israel. Si l’aviation israélienne peut frapper à son gré la Syrie et ses batteries de missiles, l’Iran a les S-300 russes. Le mot d’ordre, c’est s’en prendre sans cesse à l’Iran, non pas à cause du nucléaire pour l’instant mais parce que c’est un Etat souverain et en cela, restera toujours une menace pour un Etat fantoche qui a usurpé la Palestine.

C’est pour cela qu’ils ne cessent de parler du « nucléaire » jusqu’à mettre dans la tête des gens qu’une guerre est inévitable en inversant les rôles. L’Afghanistan, c’était Ben Laden ; l’Irak, les armes de destruction massives ; l’Iran, le nucléaire. Tout s’est révélé faux.

Pour Al-Mahdi, il y a de quoi s’en prendre aux hommes quand un général israélien dit devant les caméras : plutôt Daesh que l’Iran.