Les révolutions arabes (10)

Les révolutions arabes (10)

22 avril 2016

Les USA, bras armé du sionisme mondial, sont contre les vraies révolutions. Ce sont les premiers vendeurs d’armes pour la répression des peuples révolutionnaires. Ils ne s’attendaient pas du tout aux révolutions de Tunisie et d’Égypte. Sous pression occidentale, l’armée de ces pays n’est pas intervenue. L’Occident essaie de les récupérer en les détournant de leur objectif premier qui est islamique. D’autant que des changements sont déjà visibles : accords inter-palestiniens, ouverture de Rafah.

Le Yémen et le Bahreïn viennent ensuite. Les USA sont bien décidés à faire échouer ces révolutions. Comme les USA sont le gendarme des sionistes dans le monde (« pax americana »), l’Arabie est le gendarme des USA au Moyen-Orient. L’Arabie soutient financièrement la répression du gouvernement yéménite contre le peuple. Pour sauver le régime et tromper le peuple, l’Arabie les invite à passer un « accord » où le dictateur Saleh ne seraient pas poursuivi et ou le pouvoir évoluerait vers une transition.

Le Bahreïn a tout contre lui. Pacifique au départ, en bonne voie, la révolution plonge dans un bain de sang lorsque l’Arabie envoie 1000 à 2000 extrémistes wahhabites (secte dirigeante en Arabie). On fait appel à des Pakistanais fanatiques. Une quarantaines de mosquées, de hussayniyet et de Coran sont brûlés. On torture les blessés dans les hôpitaux. Une quinzaines d’enseignantes de la langue arabes et de l’Islam sont arrêtées.

Des groupes armés ouvrent les casernes. La population s’arme. En Libye, la révolution tourne à la guerre, voire à la guerre civile. Kadhafi est aux portes de Benghazi. Les rebelles demandent l’aide de Sarkozy qui intervient avec l’anglais Cameron en Libye comme en Syrie pour des sanctions avec Berlusconi, l’Italien. Les appels de Kadhafi à la négociation sont rejetés soit par les USA et la France ou l’OTAN, soit par les rebelles qui suivent. On parle de diviser le pays. Déjà Tripoli et Benghazi sont 2 capitales. Déjà en Syrie, le peuple tient bon face aux tirs des terroristes. Les médias interprètent à leur guise pour ou contre Bachar Al-Assad.

L’Algérie et le Maroc échappent au chaos en proposant des réformes profondes.

Al-Mahdi viendra avec sa grande révolution pour châtier les criminels et sauver tous les autres

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